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bernard plouvier - Page 2

  • Un nouvel outil de dissolution nationale...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Bernard Plouvier consacré aux droits dont sont désormais abondamment pourvus les étrangers présents illégalement sur notre territoire. Médecin, Bernard Plouvier est l'auteur d'essais et d'études historiques décapantes, comme Faux et usage de faux en histoire (Dualpha, 2012) ou Le dérangement du monde (Dualpha, 2016).

     

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    Un nouvel outil de dissolution nationale : le clandestin et ses droits

    Autrefois, les choses étaient simples et, somme toute, fort logiques. La clandestinité avait une double connotation : celle du secret et de l’illégalité. Le clandestin était reconduit à la frontière de son choix ou de son origine.

    Mais ça, c’était avant la dictature des droits liés au simple fait d’être né, avant la création des lois par et pour le pouvoir économique.

    Dès l’Antiquité, en Mésopotamie comme en Chine, en Grèce ou à Rome, la notion de droits individuels était corrélée à celle des devoirs : enrichir la collectivité par sa force de travail ou dans la défense du Bien commun et ne pas nuire à autrui par des actions criminelles ou délictueuses.

    Ces vieilles lunes se sont effacées devant le nouveau soleil censé éclairer l’humanité : le culte des droits dévolus à n’importe qui ayant l’apparence d’un humain. Du seul fait qu’il existe, l’être humain a le droit de parasiter celles des sociétés où l’on est devenu tellement « libéral » qu’on y oublie l’origine même du Droit : la protection des personnes et des biens de ceux qui enrichissent la collectivité par une honnête activité et de ceux qui l’ont enrichie.

    Seuls les niais gobent cet immense bobard qu’est le culte des Droits de tout homme. Sa finalité réelle est de stimuler la consommation, selon le principe bien connu des petits ruisseaux qui font les grandes rivières. Tout est bon, dans nos sociétés décadentes, pour détourner le produit des taxes et des impôts, soit l’argent public, vers la consommation privée.

    L’immigré clandestin est bien plus utile à l’économie mondiale s’il peut consommer plus, étant parasite d’une société riche, qu’en restant travailler de façon très peu productive dans son pays d’origine, où il gagne très peu et consomme misérablement.

    Veut-on un exemple ? Prenons celui du clandestin en France.

    Certes, le clandestin ne peut en principe travailler… mais il jouit des mêmes droits que le travailleur français en matière d’indemnisation des accidents du travail et des maladies professionnelles, et il a de même droit à une retraite !

    Certes, le clandestin est exclu du bénéfice de la Sécurité sociale, mais, sans avoir cotisé à la SS ni à une mutuelle, il jouit de l’entière gratuité des soins, via l’AME. Idem, il a droit à un hébergement provisoire gratuit… si on lui trouve une place et s’il hurle assez fort pour qu’on n’ose contester « ses droits ».

    Bien entendu, il a droit aux allocations familiales et ses concubines éventuelles, en sus de son épouse reconnue par « la loi » (la loi s’applique donc aux clandestins, comme c’est bizarre !), ont droit à l’allocation de « parent isolé ».

    L’État et les collectivités locales lui viennent en aide, probablement pour le remercier d’avoir, de façon illégitime, posé les pieds sur le sol français. L’Allocation Temporaire d’Attente était initialement de 150 euros/mois : avec les majorations pour charge de famille, le clandestin pouvait atteindre 450 euros mensuels ; depuis 2012, l’aumône de la République est passée à 467 euros mensuels pour le clandestin isolé, 700 pour un couple, avec 140 euros supplémentaires par enfant à charge.

    On comprend aisément que les clandestins, estimés à 400 000 en 2012, soit en afflux permanent et pour trois raisons :

    –  La loi du 31 décembre 2012 a supprimé le « délit de séjour irrégulier » : le clandestin n’est plus « illégal »… on ne sait plus très bien ce qu’il est !

    –  On en régularise environ 20 000 chaque année.

    –  Bien que clandestin, l’immigré entré par fraude jouit d’un pouvoir d’achat : il ne s’agit plus seulement de tolérer son entrée irrégulière, mais de lui fournir de l’argent, ce qui lui permet, entre autres choses, de rembourser ses passeurs !

    L’argent public alimente le trafic d’humains autant que le parasitisme social, sans que ne soit jamais posée la bonne question. La Nation française (et le raisonnement est identique pour l’ensemble des Nations européennes) a-t-elle besoin d’analphabètes africains alors que notre « Éducation nationale » en fabrique déjà beaucoup, de mahométans à la mentalité médiévale, de jeunes mâles exotiques à la mentalité de conquérants primitifs ?

    Seule une réponse affirmative donnée par une majorité de citoyens français, consultés par voie référendaire, permettrait de justifier l’arsenal législatif qui a transformé les clandestins de l’état de délinquants à celui de consommateurs parasitaires, avalisés par l’État.

    On le sait depuis longtemps, mais il est utile de répéter les évidences jusqu’à ce que le dernier des abrutis comprenne : les élus trahissent les intérêts de la Nation… et les Français de souche européenne qui tolèrent  cet état de fait sont potentiellement des criminels contre l’humanité : par leur passivité et leur lâcheté, ils préparent l’élimination ou l’esclavage de leurs descendants.

    Bernard Plouvier (Metamag, 28 septembre 2017)

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  • Une nouvelle donne politique européenne ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Bernard Plouvier, cueilli sur Metamag et consacré à l'opposition désormais frontale en Europe entre le globalo-mondialisme et le populisme. Médecin, Bernard Plouvier est notamment l'auteur d'essais et d'études historiques décapantes, comme Faux et usage de faux en histoire (Dualpha, 2012) ou Le dérangement du monde (Dualpha, 2016).

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    La nouvelle donne politique européenne

    La France, une fois n’est pas coutume depuis quarante ans, semble vouloir donner l’exemple et reprendre la main en Europe

    Le succès d’Emmanuel Macron et, à un moindre degré, celui du Front National à la présidentielle pourraient bien sonner le glas pour les partis traditionnels et c’est une excellente chose, en notre continent sclérosé.

    Effectivement, le Parti socialiste est une nouvelle fois moribond (comme en 1920, après la sécession communiste, ou en 1966, après la déculottée de la présidentielle où Charles de Gaulle avait été réintronisé). Le Parti communiste, privé des subsides moscovites, est en voie d’extinction et la resucée du millionnaire en euros Mélenchon, adepte du très stalinien culte de la personnalité, n’a émergé qu’au hasard de la débâcle des socialo-écolo-marxistes : on se recycle comme l’on peut. Quant à la droite molle et au marécage centriste, ils se rallieront tout naturellement au mouvement macronien ou se disperseront en une multitude de chapelles.

    De fait, l’actuel New Deal à la française se réduit à l’opposition manichéenne entre l’option globalo-mondialiste et le choix populiste, soit l’antagonisme irréductible des tenants du culte des droits de l’homme (surtout si l’individu est un fort consommateur) et des chevaliers de l’intérêt collectif.

    Miguel de Unamuno avait écrit, bien avant les turbulences des années 1930-40 : « Quiconque lutte pour un idéal pousse le monde vers l’avenir. Les seuls réactionnaires sont ceux qui se contentent du présent ». Il y a pire que les hommes au regard rivé sur la simple actualité. Il y a les vieilles barbes, fidèles aux schémas périmés : les dinosaures des diverses chapelles marxistes et les dévots des régimes théocratiques.

    Le monde actuel ne peut que vomir les fossiles du Moyen âge, qu’ils soient mahométans ou gourous de sectes créationnistes, théoriciens de la monarchie de droit divin ou du césaropapisme, aussi bien que les dinosaures léninistes, staliniens, maoïstes, trotskistes ou les partisans de l’anarchie violente.

    Les hommes du XXIe siècle semblent bien partis pour participer ou assister à l’affrontement entre les tenants de l’économie globale, de l’hédonisme promu au rang de valeur morale essentielle, du brassage des races, de l’imposition de la culture du basic english et des images virtuelles & les partisans de la doctrine populiste, qui a une tradition de 26 ou 27 siècles en Occident, de la Grèce présocratique à nos jours… évidemment, nos merveilleux universitaires l’ignorent, mais nul être de qualité n’a jamais compté sur eux pour organiser sa vision du monde.

    Au plan pratique – et quelles que soient les déclarations de principe des uns et des autres -, la personnalité morale du véritable titulaire de la souveraineté oppose radicalement les deux régimes.

    La globalo-mondialisation est un parfait exemple de ploutocratie, prenant le masque à peine trompeur d’une « démocratie ». Les chefs de l’économie exercent, en coulisses, un pouvoir absolu, tandis que s’agitent sur le « théâtre du monde » (comme on disait au XVIe siècle) les pantins élus par le bon peuple. Pour être sûrs de dominer tout à leur aise, les maîtres du jeu économique financent tous les partis et mouvements susceptibles de former une majorité de gouvernement.

    En régime populiste, chaque voix compte

    De ce fait, le peuple reste au final le seul titulaire de la souveraineté. L’humanisme populiste repose sur les valeurs traditionnelles de l’Honneur, du Travail, de la Famille et de la Patrie (la Terre des Pères, soit une notion incompréhensible aux déracinés et aux cosmopolites). Le populisme est la réponse traditionnelle des peuples malheureux – économiquement ou moralement – qui se traduit par un absolu dévouement à la collectivité nationale, à l’inverse de l’individualisme forcené, mis en avant par la doctrine mondialiste.

    Si l’idéal de la société globalo-mondialiste est de créer un monde de consommateurs repus, béats et bien-pensants – de gentils personnages insipides, dignes de figurer dans une production des établissements Disney -, l’idéal populiste est de participer à une grande aventure collective.

    Le défi populiste européen du XXIe siècle est de créer un grand Empire fédéral où toutes les Nations issues de la race européenne pourront œuvrer, prospérer, créer une nouvelle civilisation, comme le firent nos grands ancêtres gréco-romains ou les hommes de la Grande Renaissance et des siècles d’expansion de l’Europe moderne, apportant sciences et techniques aux habitants des autres continents, de 1492 à 1945.

    Globalo-mondialisation versus Populisme, c’est la nouvelle donne. Il serait dommage, pour les Européens, de laisser passer cette chance, par veulerie, paresse ou timidité.

    Bernard Plouvier (Metamag, 11 septembre 2017)

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  • Le dérangement du monde...

    Les éditions de L'Æncre viennent de publier un nouvel essai de Bernard Plouvier intitulé Le dérangement du monde. Médecin, Bernard Plouvier est notamment l'auteur de plusieurs études historiques décapantes, dont Faux et usage de faux en histoire (Dualpha, 2012), et d'une imposante Biographie médicale et politique d'Adolf Hitler (Dualpha, 2007).

     

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    " Le sens de l’honneur s’accommode mal des périodes de décadence, durant lesquelles il s’évanouit chez les médiocres qui, partout et toujours, forment la majorité des populations. Cet affaissement moral fait entrer la vie publique et privée en état de pourrissement. L’on perçoit alors les stigmates de décomposition sociale : encouragement au parasitisme social, prime électorale aux plats démagogues, impunité offerte aux criminels.

    Un enrichissement progressif des travailleurs et une longue paix amollissent les populations. Une philosophie dominante optimiste, douce, généreuse et délicieusement hypocrite, c’est-à-dire une façon typiquement féminine d’envisager la vie sociale, ne peut – sous prétexte de diminuer la brutalité des mœurs – que déviriliser la société. Les bouleversements monstrueux de l’Occident planifiés par les nouveaux maîtres – chômage de masse de très longue durée, invasion musulmane conquérante, fanatique et obscurantiste -, et un rythme accéléré des innovations morales et techniques, favorisent les états dépressifs autant que l’expression de délires. L’innovation technique est facilement maîtrisable et domesticable, au prix d’un apprentissage plus ou moins long. Mais le désaveu officiel des valeurs fondamentales enseignées par des parents ou des éducateurs profondément respectés, la promotion d’autres valeurs, auparavant méprisées, créent une désorientation morale et une sensation de vide infiniment dangereuses.

    À chaque épisode d’ébranlement moral majeur, l’on voit une partie de l’humanité plonger pour plusieurs décennies dans le chaos, par sentiment d’incapacité grandissante, d’inadaptation à un environnement trop instable. C’est en cela que réside le dérangement du monde actuel et l’on comprend que nombre de nos contemporains se détournent des trivialités quotidiennes pour se plonger dans la fiction ou dans la contemplation du (presque) immuable : la nature.

    Une société devient décadente quand elle est tentée par le suicide collectif, soit l’abandon par mollesse et veulerie de ses propres valeurs. C’est faire preuve d’une lâcheté impardonnable que de laisser ses enfants exposés aux turpitudes et à la profonde amoralité de nouveaux maîtres et d’envahisseurs venus d’un autre monde conceptuel. L’histoire le démontre : à ces périodes molles et corrompues de décadence progressivement accélérée, succède un ébranlement majeur, révolution et guerre de libération. "

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  • L'Europe de demain ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un point de vue de Bernard Plouvier, cueilli sur Metamag et consacré à la nécessité pour les Européens de créer d'une Europe-puissance pour faire face aux deux régressions qui le menacent.

    Médecin, Bernard Plouvier est déjà l'auteur de plusieurs études historiques décapantes comme L'énigme Roosvelt (Dualpha, 2011) ou Faux et usages de faux en histoire (Dualpha, 2012).

     

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    L'Europe de demain

    Les grandes civilisations européennes de l’Antiquité, la grecque et la romaine, furent mâles dans leurs valeurs, donc fortes, conquérantes, innovantes, du moins jusqu’à leur catastrophe finale, induite beaucoup moins par des causes extrinsèques (poids de l’État, épidémies, modifications climatiques) que par l’effet de la veulerie des maîtres, des élites et du peuple.

    Également fondé sur des valeurs mâles et s’appuyant sur l’héritage du XVIIIe siècle, singulièrement sur les projets de réforme des remarquables administrateurs de la monarchie capétienne en ses derniers feux, le 1er Empire français édifia la superstructure des États français, belge, italien pour un siècle et demi, jusqu’au reniement des années 1968-80.

    Notre société mondialiste, apparue dans les années 1980, est femelle, donc molle, permissive, vouée à l’hédonisme, aux compromis, à la faiblesse. La femme, surtout si elle est belle, est toujours menacée du risque de viol.

    L’Europe est belle. Elle est (encore) riche, du fait du travail incessant de générations d’autochtones, qui l’ont façonnée durant les trois derniers millénaires. Elle est devenue la cible d’envahisseurs virils, brutaux, racistes et quasi incultes pour beaucoup d’entre eux, par ailleurs dévoués à une mystique de haine envers les « infidèles », l’islam tel qu’il est pratiqué par ses fanatiques et le fanatisme est fort contagieux : les expériences politiques européennes, asiatiques et latino-américaines, depuis 1789, le démontrent abondamment.

    Au pays des capons et des femelles, même les hommes les plus médiocres ne peuvent que l’emporter. Se laisser mollement bercer par la propagande à l’eau de rose des propagandistes au service des vrais maîtres - les quelques milliers de dirigeants de l’économie globale qui ont confisqué l’ensemble des pouvoirs à leur profit – ne peut mener qu’à l’asservissement ou à la dhimmitude (soit la position des non-citoyens, humiliés et pressurés d’impôts, dans les pays de Charî’a). 

    Dans un certain nombre de pays européens, existe une loi séparant l’État des confessions religieuses. En France, la loi de juillet-décembre 1905 est quotidiennement bafouée par les fanatiques de l’islam, avec la complicité active ou passive d’élus, peu soucieux des intérêts du peuple, mais fort préoccupés par leur réélection, dépendant pour l’essentiel des dons de leurs sponsors, maîtres du pouvoir économique, et du vote d’électeurs dont la majorité est naturellement composée d’individus médiocrement doués, comme le démontrent les études statistiques sur le quotient intellectuel moyen de toutes les populations de la planète. Plus un électeur est fruste, plus il est accessible à la plus basse démagogie. Que pèse le respect de la République et de ses lois, au regard du plan de carrière de nos merveilleux et incorruptibles élus ?     

    Le respect des lois et leur stricte application distinguent la société mâle du laxisme féminin, où l’on s’accommode fort bien de l’arrangement et des combines. Par essence, le parlementarisme est femelle et fort mal adapté aux situations de péril imminent menaçant les populations autochtones.

    L’insécurité, liée à la tyrannie de groupes d’irresponsables ou de violents perturbateurs de l’ordre public, fait désirer par les honnêtes citoyens malmenés l’accès temporaire au Pouvoir d’un dictateur efficace, dévoué au bien public et garant du retour à l’ordre. Dans les cas de danger extrême, les libertés individuelles passent après la sécurité des familles et des biens.

    Les sociétés actuelles d’Europe occidentale, centrale et danubienne sont à la fois en état de récession économique, par l’effet d’une très stupide désindustrialisation massive, et soumises à l’invasion de fanatiques et de sociopathes ultra-violents. On comprend que la situation soit explosive. Un régime de Salut public est l’unique recours d’un peuple agressé, menacé d’esclavage, voire d’extinction par l’effet conjugué de la dénatalité autochtone et d’une invasion par des foules issues d’autres continents, sans compétences particulières, mais avides de biens facilement acquis et à la mentalité raciste et sectaire : des foules de conquérants mâles.

    Un pouvoir populiste, par définition attaché au bien-être à moyen et long termes de la nation, est l’unique moyen de faire triompher ce qui doit devenir l’idéal des autochtones d’Europe au XXIe siècle : leur fusion au sein d’un Empire européen. En réaction à la dictature de pouvoir économique, il faut en revenir « à la politique », dans son éthique, c’est-à-dire en revenir à un mode de gouvernement visant à promouvoir et affermir le Bien commun des nations constituant la race européenne. 

    En ce premier demi-siècle de l’ère mondialiste, l’Européen est menacé d’une double régression intellectuelle et morale : l’hédonisme consumériste et l’islam. À l’évidence, l’Européen peut et doit choisir autre chose que Wall street ou La Mecque. En l’occurrence il doit opter pour une solution mieux adaptée au génie de sa race et à ses potentialités. Une saine réflexion s’impose sur les fondements de l’Éthique et son application aux États du continent.

    L’Europe n’est pas née « très exactement quand l’Empire romain a croulé » (c’est une phrase du médiéviste Marc Bloch), pas plus qu’à aucun moment du Moyen Âge. Elle n’est pas née du Traité de Rome (1957), encore moins de celui de Maastricht (1993), révisé à Lisbonne en 2009. L’Europe, la vraie, issue de l’union des nations qui forment la race européenne et peuplent le continent depuis l’aube des temps historiques, n’est pas encore née.

    L’Europe est à faire. C’est aux Européens de souche, et à eux seuls, qu’incombe cette formidable création.     

    « Je prédis un âge tragique : l’art suprême de l’affirmation de la vie »

    Friedrich Nietzsche, Ecce Homo

     
    Bernard Plouvier (Metamag, 3 décembre 2015)
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  • Faux et usage de faux en histoire...

    Les éditions Dualpha viennent de publier un nouvel essai de Bernard Plouvier intitulé Faux et usage de faux en histoire. Médecin, Bernard Plouvier est déjà l'auteur de plusieurs études historiques décapantes, publiées chez Dualpha, comme L'affaire Galilée, d'une imposante Biographie médicale et politique d'Adolf Hitler ainsi que d'une étude sur l'affaire Dreyfus.

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    "Il faut croire que la narration historique n’est pas seulement un plaisir d’esthète ou une activité de savant, mais qu’elle a aussi une certaine importance sociale, puisque de nos jours des parlementaires édictent des lois pour en réglementer l’écriture et que des juges ont à statuer sur le cas des contrevenants, ces chercheurs atypiques qui osent réviser les dogmes communément admis.
    Pourtant, une question mérite d’être posée. L’écriture historique officielle, c’est-à-dire celle de nos merveilleux universitaires, de nos brillants académiciens et de nos sémillants écrivains mondains est-elle digne de foi ? Dans ce livre, on ose prétendre le contraire.
    Dans une première partie, on tente de démonter une quinzaine de fables bâties pour édifier le bon peuple, de Ramsès II à Lénine, de Galilée à Einstein, de Constantin Ier à Paul Reynaud et Charles De Gaulle.  Il est évident que l’écriture de l’histoire contemporaine n’est trop souvent que de la propagande. Ainsi, a-t-on épuré l’histoire d’Adolf Hitler des légendes et des  mensonges les plus grotesques.
    Enfin, dans une troisième partie, l’on a abordé le lieu symbolique du « Devoir de mémoire », Auschwitz et son complexe concentrationnaire, en essayant d’en ôter les scories qui ont donné naissance au négationnisme, puis l’ont nourri.
    La notion de vérité historique est, par essence, un idéal inaccessible. Cela ne signifie pas qu’il faille renoncer à s’en rapprocher et moins encore qu’on ait licence de la violer délibérément."

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  • L'énigme Roosevelt...

    Les éditions Dualpha viennent de publier une nouvelle étude historique du Docteur Bernard Plouvier, intitulée L'énigme Roosevelt, faux naïf et vrai machiavel. Médecin, l'auteur utilise son scalpel pour disséquer les événements et aller au coeur des choses. Il a déjà notamment écrit une imposante Biographie médicale et politique d'Adolf Hitler ainsi qu'une étude sur l'affaire Dreyfus.

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    "Le 32e Président des Etats-unis d'Amérique, Franklin Delano Roosevelt, " FDR " ne fut pas ce démocrate de légende, ce sauveur de l'économie des USA grâce au New Deal, ni l'ange de la paix, contraint malgré lui à voler de façon désintéressée au secours de démocraties submergées par le " démon nazi " et le " militarisme japonais ", pas plus qu'il ne fut un homme trop confiant et de ce fait honteusement trompé par Staline. Déçu par la reprise de la crise économique en 1937, il veut lancer les USA à l'assaut des marchés de tous les continents. Chef d'une nation pacifiste et isolationniste, il construit le plus gros complexe militaro-industriel de son époque, à la fois pour résorber un chômage massif qu'il a été incapable de traiter autrement, mais aussi pour transformer les USA en gendarme du monde " libéral ", un monde qui sera dominé par l'industrie et le négoce des USA, surveillé par les forces armées et les services de renseignements des USA, un monde dont il veut unir les peuples et les rendre heureux par le don de l'american way of life, superbe machine à standardiser la consommation et l'opinion publique dans tous les continents. Voulant conquérir le marché chinois, il s'arrange pour amener les gouvernants du Japon à se lancer dans une guerre suicidaire. S'il pousse les " démocrates " à la guerre en Europe, en 1938-1939, c'est à la fois pour se débarrasser de la concurrence industrielle et commerciale fort puissante du IIIe Reich, mais aussi pour obliger les peuples européens, ruinés par une nouvelle guerre fratricide, à se débarrasser de leurs colonies et protectorats, offrant ainsi de nouveaux marchés, libérés de tout protectionnisme colonial, à l'industrie et au négoce des USA. La décolonisation offre aussi la possibilité d'implanter les industries grosses consommatrices de personnel dans des pays à populations peu exigeantes en matière de salaire et de protection sociale. En plus d'être le prophète de la mondialisation de la vie politique et (sous)-culturelle, FDR est le premier théoricien de " l'économie globale ". Dans son plan, l'Armée Rouge de Staline joue un rôle majeur. Elle doit terrifier les Etats européens que l'ogre soviétique n'a pas occupés en 1944-1945, et les forcer à concentrer leurs forces armées sur le territoire national, ce qui les oblige à libérer ces peuples exotiques dont FDR veut faire des clients de son Amérique, à la fois maître et modèle d'un nouveau monde à créer. La mort prématurée de FDR a simplement retardé d'un demi-siècle la réalisation de ce plan."

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